Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Consacré aux chevaux seulement
1 mars 2006

Chevaux légers : l'akhal-téké

Chevaux légers : L'akhal-téké

L'ahkal-téké est un peu au cheval ce que l'oriental est au chat :
un animal tout en jambes, mince jusqu'à la maigreur, étroit et
élégant. Préservé du métissage par le rideau de fer, l'akhal-téké
a gardé jusqu'à récemment les caractéristiques très parti-
culières de cette race ancienne aux origines mystérieuses.

Un sang pur

Selon la version officielle, l'akhal-téké est une race pure, aussi an-
cienne que celle du pur-sang arabe. Il est bien vrai que ce cheval est
unique, tant par son modèle que par son extraordinaire endurance.

La garde de Darius
La pureté de l'akhal-téké est bien difficile à démontrer, tant ses origines se perdent dans un passé lointain et nébuleux. On appréciait déjà les chevaux de courses d'Ashkabad plus de mille ans avant J.-C.
Cinq cents ans avant notre ère, la garde du roi Darius et les soldats des régions environnantes montaient des chevaux d'un type très semblable.

L'akhal-téké semble doué d'une grande intelligence. Les artistes de cirque s'y intéressent de près et Alexis Gruss en possède déjà trois !

Des coursiers légers
Les Turkmènes ont depuis des siècles la passion des courses. Ils se sont attachés à élever des montures particulièrement fines et sèches, longues en jambes et d'une extraordinaire endurance. On raconte qu'ils enveloppaient leurs chevaux dans d'épaisses couvertures en feutre pour les protéger des nuits froides du désert, ce qui fait que les animaux n'avaient pas besoin de produire le moindre gramme de graisse pour lutter contre le froid. Les coursiers recevaient également une nourriture assez particulière, riche en protéines et pauvre en fibres, comportant notament... de la graisse de mouton.

LA SUITE PLUS TARD...

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité